Merci Président.
C’était il y a quelques semaines. Un mardi soir, fin juillet pour être précise. On jouait tranquillement, et il n’y avait plus de café.
Je suis sortie en chercher au konbini d’à côté.
Manque de chance, il n’y en avait plus. Enfin, notre café habituel, j’entends.
J’en ai quand même pris un autre, à 200 yens de plus.
Personne au club n’a remarqué la différence.
J’en ai pas dormi de la nuit.